« Sans fil. Sans tracas. » Voici ce qui résume assez bien notre utilisation de l’aspirateur sans fil Dyson V7 Animal. Nous utilisons cet aspirateur chez Bouge Petit depuis plusieurs mois et il est remarquable de voir combien de nos clients nous demande notre avis sur celui-ci. Nous avons donc décidé de partager notre analyse ici. L’aspirateur V7 n’est pas notre première expérience avec les produits Dyson. Nous avions commencé avec l’aspirateur Dyson DC36, un modèle à fil. Bien que maniable, ce modèle n’était pas particulièrement pratique avec son court fil électrique. De plus, son système de vidage de bac à poussière n’était pas très facile à utiliser. La particularité principale des Dyson est le bac à poussière sans sac. Cela rend l’utilisation de ces aspirateurs très pratique car il n'est pas nécessaire d’acheter des sacs. De plus, les aspirateurs Dyson sont bien connus pour leur puissance et efficacité. Après notre modèle Dyson DC36, nous avions fait notre première expérience d’aspirateur sans fil avec le modèle Dyson V6. Cependant, ce modèle avait un problème et le tuyau d’aspiration bloquait parfois. Deux aspirateurs V6 testés avaient le même problème. Il semble que le modèle V7 vient régler cela. Après une recharge d’environ 3 heures, l’aspirateur V7 est prêt pour utilisation. L’appareil se prend bien en main et pèse 5.2 livres, ce qui est suffisamment léger pour promener l’appareil en haut des marches. Vous appuyez simplement le bouton rouge avec l’index pour démarrer l’appareil. Tout est très intuitif ; même notre petit dès l’âge de 2 ans a commencé à utiliser l’aspirateur pour nous « aider » ! Il y a un autre bouton de type « switch » qui permet de définir la puissance de l’appareil : soit régulier, soit maximum (MAX). À puissance régulière, vous pouvez compter jusqu’à 30 minutes de durée de la pile. En puissance maximale, la durée est beaucoup plus courte, jusqu'à environ 8 minutes.
Le modèle « V7 Animal » vient avec une brosse motorisée. Il existe d’autres modèles V7 avec différentes brosses, comme le Dyson V7 Motorhead et le Dyson V7 Absolute. Dans notre cas, même si le modèle porte la mention « Animal » et que nous n’avons pas d’animaux chez Bouge Petit (sauf ceux en plastique), la brosse est très efficace pour nettoyer l’ensemble de notre espace. La brosse est excellente, particulièrement sur les tapis, là où la saleté vient s’installer. Pour faire un bon nettoyage des tapis, il faut parfois activer la puissance à MAX. C’est alors qu’on ressent bien toute la puissance de cet aspirateur sans fil. Un bac transparent ramasse la poussière et donne un rapide indicatif s’il faut le vider. Pour le vider, c’est très simple : mettre le bac au-dessus d’une poubelle et tirer la languette rouge sur le dessus de l’appareil. Tout tombe directement dans la poubelle et généralement il ne reste rien à tirer avec nos doigts. On referme ensuite le bac et voilà ! L’appareil vient avec d’autres petits accessoires qui permettent de faire un nettoyage minutieux. On peut même utiliser l’appareil sans le grand tuyau d’aspiration, ce qui permet un usage tel un mini-aspirateur portatif. L’aspirateur Dyson V7 Animal se détaille au prix approximatif de 500$. Prenez note qu’il est parfois possible de le trouver à rabais en magasin et en ligne. Notre opinion : l’aspirateur sans fil Dyson V7 Animal est pour nous une amélioration importante par rapport aux aspirateurs à fil. Plus rapide d’utilisation, pas de fil à brancher/débrancher, une bonne puissance pour la plupart des besoins. En somme, nous ne pouvons pas nous en passer ! Le prix peut paraître un peu élevé, mais si on compare tous les avantages, cela en vaut la peine. Il existe également un modèle V8 plus récent et puissant, mais aussi un peu plus coûteux. En espérant que cela pourra vous aider dans votre décision ! N’hésitez pas à nous faire part de votre expérience avec votre aspirateur préféré dans notre section de commentaires ci-bas.
2 Commentaires
Nos politiciens sont déconnectés de la réalité. Une motion adoptée par nos politiciens pour rappeler que « Bonjour » est un des mots de la langue française les plus connus. Certains politiciens aimeraient forcer les commerces à utiliser la salutation « Bonjour » seule, au lieu du « Bonjour ! Hi ! » parfois utilisé, pour accueillir les clients.
Pendant que les politiciens débattent - à nos frais - sur des questions aussi risibles, ils ne se préoccupent pas des réels enjeux commerciaux : aider les entreprises d’ici. Toute personne peut remarquer que l’économie d’ici est en difficulté. Et je ne parle pas des Sears, Toys R Us ou même Starbucks qui ferment des magasins. Je parle des petits commerces d’ici qui peinent à survivre. Même les camions-cuisine de rue sont en difficulté avec toutes les contraintes mises en place par la ville. De plus, la compétition est maintenant internationale. Les gens achètent plus sur Amazon et autres sites en ligne que jamais. Souvent, ces sites n’offrent même pas une version française. Je ne vois personne forcer l’utilisation du « Bonjour » sur ces sites. Il est facile à une poignée de politiciens de tenter d’imposer aux commerçants l’utilisation du mot « Bonjour », mais c’est autre chose quand ils doivent porter de réelles actions pour aider les commerces à garder leurs portes ouvertes. Nos politiciens se plient pour aider les grandes multinationales et leurs donner des congés fiscaux. Mais aider les PME d’ici qui créent réellement les emplois au Québec, elles, pas question de les aider en réduisant leurs taux d’imposition. Lorsqu’un consommateur va au cinéma, il paie les taxes TPS/TVQ. Alors pourquoi donner des passe-droits à certaines compagnies multinationales comme Netflix ? Il y a un réel cynisme de la part de la classe politique. D’un côté, ils disent vouloir encourager l’entreprenariat au Québec et offre même des sites d’information pour aider toute personne à se lancer en affaire. De l’autre côté, ils viennent, sans arrêt, mettre de nouveaux bâtons dans les roues des entrepreneurs pour s’assurer de leur rendre la vie encore plus difficile. En aucun cas, le « Bonjour, Hi » ne pose un risque pour la langue française au Québec. C’est simplement une question commerciale. S’il y a des clients anglophone/internationaux, cela fait du sens de l’utiliser. Commerce 101. Si un commerce n’a que des clients francophones, je suis certain que seul le « Bonjour » est utilisé. Avant tout, c’est une question de droit. Où est la limite d’autorité du gouvernement dans un commerce ? Un commerce n’appartient pas au gouvernement ; c’est une entreprise privée. Un restaurant a déjà suffisamment de permis, règles et frais qu’il doit suivre et payer. Il ne revient pas aux politiciens de dicter comment un commerce accueille ses clients et doit faire ses affaires. Chaque commerce est unique et connaît sa clientèle. À petit feu, les politiques adoptées au Québec réduisent la compétitivité des PME et causent des problèmes dans l’exploitation même des commerces. Politiciens : cessez de vouloir nous dire quoi faire dans nos commerces et dépensez donc l’argent des contribuables sur des enjeux importants pour l’économie du Québec. |
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