Creation Museum et Ark Encounter : un superbe parc thématique familial situé aux États-Unis19/6/2024 Voici un secret encore bien gardé. Nous même n’avions entendu parler du Creation Museum que seulement deux mois avant de le visiter. C’est un musée et parc thématique situé aux États-Unis dans le Kentucky. Nous y avons passé 3 jours et avons été enchantés ! Le parc consiste en deux sites distincts, soit le Creation Museum et l’Ark Encounter. Ils sont situés à 50 minutes de voiture, donc il faut prévoir faire au moins une journée par site. Heureusement, le parc offre une passe « 3-Day Bouncer » permettant de se promener d’un parc à l’autre sur 3 jours. Puisque les enfants de 10 ans et moins sont gratuits, c’est certainement l’un des parcs le moins cher pour votre famille (si comparé à Disney ou Legoland). Creation Museum Le Creation Museum est un musée inauguré en 2007. Du moment où vous arrivez à l’accueil, vous savez que vous aurez une expérience inoubliable. Les employés sont souriants et aident avec tout besoin. Vous commencez votre arrivée avec des répliques de dinosaures, de quoi exciter les enfants. Le musée est sur 2 étages et est énorme. La visite se fait graduellement et on passe d’un étage à l’autre en suivant les expositions. Toutes sortes de sujets y sont abordés, comme la création du monde, la science, la biologie, les dinosaures, l’arche de Noé… Au fait, ai-je mentionné qu’il s’agit d’un parc thématique chrétien ? Mais ne pensez pas que vous allez vous ennuyer ou que ce ne sera pas à la hauteur. Au contraire, c’est un parc au calibre international, rivalisant facilement avec ceux de Disney. Contrairement à d’autres parcs thématiques populaires, visiter le Creation Museum se fait dans un esprit calme et avec joie. On en y ressort heureux et sans stress. Beaucoup est dû au choix d’une musique calme et un environnement chaleureux. Un des aspects intéressants du musée, c’est ce qu’on y apprend. Si vous aimez lire toutes les informations et pancartes, vous y trouverez votre compte. Préparez-vous à remettre en question plusieurs faits que vous avez toujours tenus pour acquis ! Sans en dévoiler trop, car c’est mieux de garder les surprises. Ark Encounter Si vous pensiez que le Creation Museum était quelque chose, attendez de voir l’arche grandeur réelle qui a été reproduite, toute de bois. En effet, saviez-vous que l’arche érigée par Noé était pas moins du deux tiers de la longueur du Titanic ? De quoi remettre en perspective les petites arches des livres de nos enfants. Par sécurité, l’arche est située loin du stationnement et vous embarquez dans un bus pour vous rendre à l’entrée. Un arc-en-ciel bien placé comme porte d’entrée au site et vous avez sous les yeux l’immensité du bateau. Il y a un total de 3 étages à aborder et une panoplie de choses à voir. Dès qu’on aborde la rampe d’accès, on entend déjà des bruits d’orage et on sait qu’on embarque dans une aventure. On découvre l’arche en suivant un ingénieux parcours à la queue-leu-leu. Même si c’est bondé de monde, nous marchons tous lentement mais surement, et on ne se sent jamais bousculé, même avec une grosse poussette ! Pro tip : si vous avez l’occasion de retourner 30-45 minutes avant la fermeture du site, vous pourriez être pratiquement seuls dans l’arche pour une « course » et y prendre un paquet de photos. C’est ce que j’ai fait avec mon plus vieux garçon et nous avons été heureux de l’avoir fait. Dans l’arche, les enfants seront émerveillés par les reproductions d’animaux, de cages, de personnages et de structures diverses. Lorsque vous sortez de l’arche, il y a un zoo à visiter sur le site et un superbe playground pour faire jouer les petits. Une belle expérience
Partant de Montréal, il faut prévoir environ 12 à 13 heures de route pour arriver au Creation Museum. Nous l’avons fait en 2 jours d’auto et cela s’est fait très bien. Est-ce que cela vaut le détour ? Oui, complètement ! Vous allez apprécier, et vos enfants tout autant. Et considérant le niveau de qualité, le prix demandé est vraiment raisonnable. Si vous n’aviez rien planifié pour cet été et que vous visitez le Creation Museum, laissez-nous vos commentaires après votre visite. Et si vous êtes à Montréal et voulez faire une belle activité en famille avec vos tout-petits, visitez Bouge Petit, il nous fera plaisir de vous y recevoir !
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Vous avez un tout-petit (3 à 36 mois), mais aussi un tout-grand (4 à 12 ans) ? Ça tombe bien, nous avons de quoi pour toute votre famille !
De retour chez Bouge Petit, les ateliers LEGO permettent aux grands de jouer en groupe et de créer un monde imaginaire à l’aide d’une montagne de pièces. Vos grands passent trop de temps sur l’écran et pas assez à utiliser leurs mains ? Donnez-leur un petit break d’écran et faites-leur (re-)découvrire le plaisir d’imaginer avec les briques LEGO ! Être un fan LEGO n’est pas seulement donné aux enfants ! Cela se ressentait lorsque nous avons visité l’exposition publique du plus grand rassemblement de fans LEGO au Canada, Bricks in the Six, un événement principalement dédié pour les adultes. Les 22 et 23 juillet 2023 derniers, l’événement se tenait dans le grand Toronto, spécifiquement à Mississauga dans l’hôtel Hilton Meadowvale/Mississauga. Une exposition où les fans avaient l’occasion de voir les créations de leurs pairs. Cela était une excellente occasion pour permettre à nos petits de s’inspirer des modèles en exposition et pour créer leurs propres modèles pour le plaisir.
L’événement se tenait dans deux salles : l’une contenait le travail d’une centaine d’exposants et fans LEGO, l’autre offrait des vendeurs de diverses boîtes LEGO et un espace créatif pour les petits. Côté exposition, il y avait de quoi y passer plus d’une heure. Des centaines de modèles uniques créés par les fans avaient chacun une touche personnalisée. Que ce soit de larges châteaux forts, un supermarché miniature, des modèles de personnages TMNT, des reproductions de maisons célèbres, des villes immenses avec un réseau ferroviaire, des stations spatiales, des mécanismes robotisés, ou même une réplique du Titanic, il y en avait pour tous les goûts. Il était également intéressant de pouvoir discuter avec les concepteurs et de les questionner sur leur travail. Il était clair que dans la plupart des cas, c’est la passion qui les motive, car plusieurs ne pouvaient donner une durée précise sur le temps passé à créer leurs œuvres ! Dans la deuxième salle, il était possible d’acheter des boîtes LEGO de vendeurs venu de tout le Canada. Des boîtes souvent même discontinuées étaient en vente, permettant aux collectionneurs d’ajouter à leur collection. Au centre de la salle, les enfants pouvaient s’amuser avec des pièces LEGO. Les enfants y ont passé une bonne heure à créer toutes sortes de modèles, qui ont été ensuite mis au centre pour exposer le travail de tous. L’événement coûtait environ 15$ par personne pour une durée de 3 heures. D’autres événements de Bricks in the Six viendront dans le futur, et nous recommandons une visite si vous en avez la chance. Et si vous êtes à Montréal et cherchez une activité pour vos tout-petits, visitez-nous chez Bouge Petit ! Faites-vous partie de ceux qui en ont assez du contenu retrouvé sur Netflix ? Vous n’êtes pas seul. En effet, Netflix a perdu près d’un million d’abonnés dans les derniers mois seulement. Pour notre part, nous ne sommes plus abonnés à Netflix depuis longtemps. La raison principale étant le contenu. Nous avons atteint une fatigue au niveau du type de contenu poussé par la compagnie, incluant le contenu pour les enfants. Il y a quelques années, nous avons trouvé un service appelé Pureflix. C’est un service chrétien à la base et adapté pour les familles. Utilisant le même modèle d’abonnement mensuel, le contenu qu’on y retrouve est adapté aux enfants. Nous n’avons pas crainte à donner la télécommande aux enfants et de les laisser choisir quelque chose dans la liste. Il n’existe aucun contenu qui aura des effets dommages pour eux. Car, il faut le constater, le contenu maintenant poussé aux enfants est de plus en plus machiavélique. Comme parent, il est notre devoir de s’assurer que nos enfants ne regardent pas des choses qui ne leurs sont pas adaptés. « Instruis l'enfant selon la voie qu'il doit suivre; Et quand il sera vieux, il ne s'en détournera pas. » (Proverbe 22:6).
Le contenu pour les enfants dans Pureflix est vaste : beaucoup de dessins animés propres et aussi des films pour toute la famille. Comme adulte, il y a une grande sélection de films à faire réfléchir sur la vie. Et pourquoi pas aussi sur votre vie spirituelle ? Vous pouvez même essayer le service pour 7 jours gratuitement, question de voir comment vous l’aimez. Vous pourrez regarder sur tous vos appareils, car Pureflix supporte la plupart des grandes plateformes (on l’utiliser avec notre Amazon Fire TV). Prendre note que le service est en anglais et espagnol pour le moment. Les enfants sont de plus en plus anxieux, on le voit même pour les enfants de moins de 5 ans. L’une des causes de l’anxiété est « les peurs irrationnelles ». Doit-on se surprendre, lorsqu’on regarde le type de dessins animés et de films qui s’affichent supposément pour un public général, alors qu'en réalité ils s’adressent à des adolescents ou même des adultes. Comme parents, on oublie souvent de vérifier le contenu avant de laisser nos enfants regarder. On fait parfois confiance à leur jugement, mais ils ne sont souvent pas prêts à prendre cette responsabilité. Si vous en avez assez de Nexflix, ou si vous êtes curieux d’une alternative, Pureflix saura certainement vous plaire. Et démontrant le sérieux de ce service, prenez note que Sony Pictures Entertainment a récemment acquis Pureflix. En espérant que l'essence même du service demeure le même dans les années à venir. Essayez-le ici : https://www.pureflix.com/ Le mois prochain, cela fera un an que nous avons retiré notre plus vieux de l’école alors qu’il était à la fin de sa première année du primaire. Depuis, nous faisons « l’école à la maison », aussi appelé « l’éducation à domicile ».
Peut-être avez-vous déjà un paquet de questions en tête, tout comme j’en avais lorsque mon épouse et moi faisions les pours et les contres d’aller de l’avant avec cela. Premièrement, quoi ? C’est possible (et légal) d’enlever son enfant de l’école ? Oui, tout à fait. Évidemment, la pandémie aura permise à un grand nombre de familles de découvrir cette option. Ce n’est pas quelque chose qui est discuté ou enseigné dans la société en général, donc cela reste tout de même plutôt marginal. Sachant que cela est possible, qu’est-ce que ça veut dire et comment ça fonctionne ? Là, il faut chercher. Il y a le site du gouvernement, les groupes Facebook, les blogues d’expériences de parents, etc. Revenons en avril 2021, alors que nous étions plutôt désespérés comme parents. Notre garçon avait des difficultés au niveau du développement du langage. Lorsqu’il était en garderie, cela était déjà un problème « détecté ». Par chance, nous avons été en mesure d’obtenir des services d’orthophonie au CPE une fois par semaine. Il faisait certain progrès, mais ne semblait pas en mesure de rattraper vraiment le retard. Ce retard a été mis de l’avant en première année, alors que d’être en mesure de s’exprimer clairement devenait une nécessité dans l’environnement de classe. Avec la pandémie, les suivis orthophonistes étaient pratiquement sans résultat (forçant l’utilisation de masques). Avec ce problème de langage a alors découlé d’autres problèmes : apprentissage plus lent, manque d’estime de soi, intimidation. Notre garçon a une attitude positive en général, mais on pouvait voir qu’il n’était pas heureux. Au cours des mois précédents du retrait de l’école, nous avons eu passablement de rencontres avec les spécialistes et les membres de l’école. Globalement, ce qu’on nous disait, c’est que ça lui prendrait « plus de tout » : plus d’orthophonie, plus d’orthopédagogie, plus d’apprentissage au privé, plus, plus, plus… À ce point, nous étions vraiment déconcertés. C’est alors que nous avons fait : attends minute. Est-ce qu’on veut donner une chance à notre petit de 6 ans, ou est-ce qu’on veut en faire un diplômé universitaire l’année prochaine ? La société pousse tous les enfants à être au même niveau au même moment. Mais si cela n’était pas la bonne façon de faire ? Lors d’une « rencontre au sommet » où il y a avait l’enseignante, l’orthophoniste et l’orthopédagogue dans la même salle que nous, voyant que la discussion n’allait nulle part, nous avons simplement dit : « on pense retirer notre enfant de l’école ». Évidemment, s’en est suivi la panique générale, tous nous disant que cela serait la pire chose pour notre garçon. Presque un an plus tard, c’est la meilleure chose que nous pouvions faire pour notre garçon. Je me rappelle du dernier rapport de l’orthophoniste mentionnant qu’il fallait redoubler le nombre et la durée des rencontres. Bonne nouvelle : deux mois après le retrait de notre garçon de l’école, sans service d’orthophonie ou autres, son développement du langage s’est amélioré de façon exponentielle. Vraiment incroyable. Il y a certainement beaucoup de bon à faire l’école à la maison. J’aimerais apporter une nuance ici. Je ne suis pas enseignant, et je ne veux pas l’être. Nous n’avons pas retiré notre enfant pour faire la même chose que l’école sauf à la maison. Non, ça ne ferait pas de sens. Je n’ai pas la formation, je n’ai pas l’intérêt, je n’ai pas le temps, et je ne veux juste pas faire une classe dans ma salle à manger (quoiqu’elle ressemble souvent à un studio d’artiste, le type non organisé et pêle-mêle). Ce que je viens juste d’écrire ici, j’aurais aimé le lire lorsque j’ai commencé à chercher comment ça fonctionne, le « homeschooling ». Mais la plupart des groupes Facebook m’ont ajouté une couche de stress lorsque je lisais tous ces parents inquiets de trouver quels manuels utiliser pour enseigner. Si on s’attarde à vouloir faire comme à l’école, oui, alors là il y a certainement de quoi perdre la tête. Car au départ, mon épouse voulait faire comme à l’école. Elle s’est donc assise, pendant plusieurs heures chaque matin, pour enseigner ce qu’on peut bien enseigner au niveau primaire à l’école. Mais elle devenait frustrée par le manque d’attention de notre garçon après la première heure. Après quelques semaines ainsi, elle voulait le remettre à l’école. Je me suis dit, quelque chose cloche. Est-ce normal de pousser des petits ainsi à faire la différence entre un verbe, un sujet et un déterminant, toute la journée longue ? Je suis un adulte et je confonds encore certains concepts de grammaire. Alors j’ai continué mes recherches concernant les techniques d’école à la maison. Plus je me suis renseigné, et plus j’ai prié pour être pointé vers une solution, plus je me suis ouvert l’esprit à quelque chose d’autre : le « unschooling », ou la non-scolarisation. Quand j’ai lu ça, j’ai couru à mon épouse et dit : « c’est ça ! C’est en plein ça que je veux faire, le unschooling ! ». J’avais l’air d’un enfant qui venait d’avoir la boîte du Transformers demandé à ses parents pour Noël. Grosso-modo, la non-scolarisation, c’est le concept de laisser son enfant apprendre à sa propre vitesse et selon ses intérêts, dans le but de promouvoir l’autonomie d’apprentissage. Si l’école propose de faire la page 24 du cahier d’exercice de français, moi je propose plutôt de lire le catalogue de jouets. Si l’école propose de faire les deux pages d’exercices sur les fractions, moi je propose plutôt de faire la recette de pain aux bananes. Vous voyez l’idée. L’apprentissage, ce n’est pas juste dans les livres d’école, c’est partout dans notre quotidien. Vous dites : « c’est du n’importe quoi ! ». Mon épouse disait ça aussi au début, certainement avec un grain de raison. Après tout, mon épouse et moi avons fait de longues études jusqu’au niveau universitaire, alors on ne sort pas facilement l’école si bien incrustée en nous. Pour cela, il faut « rewire » (recâbler) notre cerveau. L’être humain est une créature incroyable. Nous naissons avec les capacités de curiosité, de découverte, d’apprentissage et de création. Les bébés et les tout-petits sont des êtres hyper-créatifs, à voir les drôles de choses qu’ils font et qui nous épatent chaque jour. C’est pour cela que l’être humain est capable de grandir et d’apprendre. C’est inné, l’intérêt d’apprendre. Malheureusement, une fois mis dans l’école, cet intérêt décroit tranquillement. Pourquoi ? Parce qu’on nous indique quoi faire. On met des murs et on nous trace le chemin à suivre. Il n’y a plus l’aspect de découverte, ou du moins, il est beaucoup moins présent. L’enfant créatif laisse place à l’enfant passif. Il arrive un point où lorsque l’enfant n’apprend pas quelque chose à l’école, il ne l’apprendra pas par lui-même. La non-scolarisation, c’est le concept inverse : ne forçons pas l’enfant et laissons-le découvrir par lui-même selon ses intérêts. La curiosité et la créativité feront le reste du travail. Vous doutez ? Bien voilà. Notre deuxième garçon est niveau maternel. Il apprend à écrire des mots tout seul, selon ses intérêts, par exemple en regardant les livres sur les jeux Mario Bros. Parfois, je lui montre les lettres et quelques sons, mais il apprend tranquillement sans même qu’on s’en rende compte. Un moment il arrive et il lit un mot, à notre grand étonnement. « Comment tu as appris ça ? » Il soulève les épaules en souriant. Vraiment incroyable. Voilà, nous sommes au 11e mois d’école à la maison. Évidemment, il y a beaucoup plus que ça à discuter, par exemple la place du gouvernement dans tout cela, car nous avons certains « comptes à rendre ». Des sujets pour une prochaine fois. De notre expérience personnelle, je peux en dire que cela a été très positif pour nous. Ce n’est certainement pas pour tout le monde, il faut déjà avoir une certaine flexibilité au niveau travail par exemple. Mais si vous pouvez vous le permettre et que vous hésitez, je vous invite à y réfléchir car il y a beaucoup de possibilités. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à commenter ou à m’écrire, je ferai un autre billet inspiré de vos intérêts. Nous vivons dans une époque sans précédent. Tous nos points de repères sont maintenant disparus. À chaque jour, il semble que les choses empirent et que nous nous enfoncions encore plus dans un sable mouvant. Avez-vous aussi cette impression ? Si oui, vous n’êtes vraiment pas seuls.
Plus de gens que jamais sont sur le bord de la dépression, vous pouvez le voir facilement. Cela n’est pas surprenant. On nous retire, comme humain, toute notre humanité. Masque, distance, petits groupes, restrictions, limitations d’interaction, et toutes ces choses qui nous assimilent de plus en plus à des robots. Serrer la main d’un ami ou encore donner une accolade, de simples gestes de chaleur humaine, qu’on nous dérobe, tel un voleur, sans gêne, sous nos yeux. Comme plusieurs, j’étais frustré de tout cela. Je suis passé par un nombre d’étapes, innombrables, depuis les deux dernières années. Notre commerce étant forcé, par nos divers gouvernements, de fermer des mois et des mois, m’a amené à plusieurs moments à être découragé à savoir comment j’allais pourvoir aux besoins de ma famille, sans entrée d’argent. Les temps ont été, sont durs, lorsqu’on se retrouve dans une catégorie d’entreprises ayant peu de valeur aux yeux de nos dirigeants. Les médias en remettent, évidemment, créant des peurs à gauche et à droite. J’ai longtemps passé mes journées à écouter toutes les sources d’information pour me faire répéter continuellement à quel point ce monde ne va pas bien. Les médias font donc un travail exceptionnel à cet effet, au point où j’en étais devenu un zombie de cette propagande. Coupons restaurants, cinémas, lieux d’activités, lieux de rassemblement. Coupons, disent les gouvernements, là où il y a du danger. Avez-vous remarquez qu’ils coupent dans ce qui fait de nous des humains ? Là où nous pouvons partager avec d’autres, échanger sur nos difficultés, découvrir peut-être une âme sœur ou un nouvel ami, avoir du plaisir. Nous, humains, avons besoin d’être en contact avec d’autres. Nous ne pouvons pas vivre seuls. L’être humain n’a pas été créé pour vivre dans un racoin et être solitaire. Noël arrivant, et comme de fait, de nouvelles mesures restrictives sonnantes, il ne faudra pas s’étonner encore une fois que, ayant une grande portion de la population souffrante non pas physiquement mais mentalement, nous nous retrouvions avec encore plus de cas de dépression, de déprimes et d’idées suicidaires. Car peu importe le nombre de statistiques et de projections que les gouvernements nous balancent pour nous soumettre encore plus sous le joug de la peur, la réalité est que les gens souffrent, la majeure partie en silence, de façon invisible. Je devrais donc y être là, également, à souffrir, commerce fermé de force à nouveau, avec peu d’espoir pour l’avenir. Et en regardant une vidéo d’interview concernant les prévisions mondiales, les choses vont continuer ainsi encore longtemps car on nous parle d’un échéancier jusqu’à au moins 2023. Je devrais donc être fâché, frustré, attristé, déprimé, déconnecté de tout rêve. La réalité est toute autre. J’ai la paix en moi. Une paix que je n’avais jamais eue avant, même en considérant les divers succès que j’ai atteints dans le passé lorsque la vie me semblait encore « normale ». Cette paix, on ne l’obtient pas en regardant la TV ou écoutant la radio. On ne l’obtient pas non plus en discutant des problèmes avec les autres. Et on ne l’obtient certainement pas en alimentant de « commentaires » les divers sites et groupes de discussions où la haine entre confrères-consoeurs est certainement à son apogée planétaire depuis le début des temps. C’est une paix toute simple à obtenir. Il faut prendre le temps de s’asseoir, de faire abstraction du monde dans lequel nous vivons. Il faut commencer à se poser des questions. Il faut réaliser que nous faisons face à une civilisation qui court à sa perte. J’avais des rêves de grandeur. Travailler plus, faire plus d’argent, avoir plus de choses, voyager plus, profiter toujours d’avantage jusqu’à mes vieux jours. Et possiblement prendre une belle retraite, lors de mes vieux jours, comme on nous le présente en couleur dans les belles publicités. Je rêvais d’envoyer mes enfants à l’université, peut-être qu’un devienne médecin ou qu’un autre crée la prochaine startup en intelligence artificielle avec un produit révolutionnaire d’un succès mondial. Maintenant, tout cela m'est superflu. Je veux profiter de chaque instant avec ma famille, avec ceux qui me sont importants et même à découvrir de nouvelles personnes qui ont besoin d’aide. Mais avant tout, j’ai découvert, dans ces temps très difficiles, que la seule façon d’avoir la paix intérieure, c’est d’accueillir Jésus Christ comme notre sauveur. Avant de rouspéter, laissez-moi expliquer. D’après vous, dans un monde de problèmes, de peurs et de haines, que nous reste-t-il pour garder notre santé mentale ? La santé mentale qui est d’ailleurs, au moins et même sinon plus importante que notre santé physique. Car saviez-vous que oui, on peut avoir une blessure physique et cela peut durer des jours ou des semaines, mais qu’un problème de santé mentale peut durer toute une vie, et que la personne souffre souvent en silence, car rien n’est visible. Le sentiment d’amour inconditionnel, c’est la seule chose plus forte que ces sentiments comme la peur, la tourmente, la solitude. Est-ce que vous trouvez que malgré votre maison, votre travail, votre famille, vos habitudes, vos activités, vous n’êtes pas en paix intérieur ? Qu’il vous manque quelque chose, mais que vous ne pouvez pas mettre le doigt dessus ? Évidemment, vous me direz que nous vivons dans une époque qui ne se compare pas. Et en effet. Ne trouvez-vous pas qu’il est encore plus difficile d’y trouver un sens à notre vie ? Plusieurs comptent sur le gouvernement pour les pointer vers la direction du salut. Faites-ci, prenez-cela, allez-là, et vous serez saufs, vous échapperez à une mort certaine, c’est ce que nos dirigeants nous rappellent quotidiennement. Malgré tout cela, quelque chose cloche, vous le savez comme moi. Vous avez ce qu’on appelle dans la psychologie transpersonnelle, une dimension spirituelle. « En d’autres termes, tout ce qui échappe à la logique de la pensée et à la sensibilité des émotions et des sensations est accessible par l’intuition. », citation du livre « Vivre le meilleur en soi » de ma mère, psychologue, Ph.D., malheureusement décédée du cancer, il n’y a pas si longtemps. Nous avons donc une intuition, inexplicable, que nos gouvernements se jouent de nous. Ils nous fournissent des chiffres, ils font des actions, ils semblent venir à la rescousse de tous, mais malgré tout cela nous n’avons pas la paix intérieure. Intuitivement, ça cloche, mais pourquoi ? Mon cheminement n’est pas parfait, il n’est pas pour tous, mais aujourd’hui, j’ai senti le besoin de le partager. Peut-être la plupart des curieux auront cessés de lire après deux paragraphes ou après avoir mentionné Jésus Christ, mais vous, vous avez tenus bon jusqu’ici, gloire à Dieu. Sachez, peu importe où vous en êtes dans votre cœur et dans votre tête, que vous n’êtes pas seuls. Et il n’est pas trop tard pour trouver la paix intérieure dans ce monde. Je ne suis pas un pasteur, et je n’étais même pas un pratiquant dans les églises. J’ai accompagné mon épouse au fil des années par petits pas, me questionnant et souvent allant à reculons, surtout par influence de la société se détachant du religieux. Mais avec la pandémie, avec les problèmes, j’ai voulu trouver des réponses aux questions difficiles. J’ai donc visité plusieurs églises, parlé avec plusieurs pasteurs, j’ai pris des « morceaux » de réponses à gauche et à droite, et je créais du mieux que je pouvais un plan vers mon salut. Mais un jour, j’ai enfin eu LA réponse que je cherchais. J’ai obtenu le Saint-Esprit, et maintenant tout est clair. Je viens vous dire ici que vous aussi, vous pouvez faire la même chose. Vous pouvez accepter Jésus Christ dans votre vie, et vous pouvez trouver une paix dans votre cœur, inexplicable, satisfaisante et grandissante. Plus aucune mauvaise nouvelle, plus aucune maladie, plus aucun problème ne vous affectera. Vous me pensez fou ? À votre place, avant, je l’aurais certainement pensé ! Encore un allumé parlant de l’Esprit saint, franchement. Mais aujourd’hui, mes yeux sont ouverts. Je ne suis plus confus. J’ai arrêté de suivre les stupidités qui m’alimentaient à chaque jour, j’ai tourné mon regard vers les choses de Dieu. Mon cœur respire, j’ai le sourire, je suis positif à la vie, je suis heureux, j’ai l’impression renaître. Enfin, je vois. Il y a tant à dire sur ma transformation. Ça sonne cliché, mais c’est bien cela, une transformation. Toute ma pensée a changée, je n’ai plus cette peur qui m’alimentait. S’il y a une chose à retenir de tout ceci, c’est que Dieu est le seul qui nous permet de faire les bonnes décisions, maintenant. Nous vivons dans une époque critique. Il n’est pas trop tard. Trouvez la paix en vous. Recherchez-là. Cessez de vous préoccuper des mauvaises nouvelles, il y en a trop déjà qui viennent de partout. Respirez à nouveau, renaissez. Vivez quelque chose qui ne s’explique pas dans un petit blogue. Jugez par vous-même en essayant. Mais n’attendez pas, les choses autour de nous se précipitent avec vitesse grand V. Soyez bénis, vous que je ne connais pas. Votre vie peut retrouver un sens dans l’adversité. Si vous avez besoin d’aide, contactez-moi ou commencez à prier et lire la Bible, vous ne le regretterez pas. Vous recherchez une belle activité permettant la créativité et la socialisation pour votre enfant âgé entre 4 et 8 ans ? Essayez nos nouveaux ateliers Lego d’une durée de 1h30m. Un parent peut rester (ou non) pendant l’activité. Une collation est également servie pour votre enfant.
Réservation obligatoire et achat des billets à l’avance via notre site web. Places limitées ! La première tombée de neige, pour un skieur, est du pur bonheur : le ski arrive à nous ! Et quoi de plus génial que de pouvoir initier nos jeunes enfants à ce sport. Mais il faut planifier un peu. Comme parents, comment enseigner à mon enfant qui commence pour la première fois ? Quel équipement est vraiment nécessaire ? Nous avons précédemment écrit un « Guide : Comment débuter le ski alpin ou le snowboard avec vos tout-petits ». Mais si vous voulez commencer à enseigner et avoir du plaisir avec votre enfant âgé entre 3 et 5 ans, 2 accessoires sont nécessaires, selon nous. Accessoire 1 : Harnais avec laisse Comment donner une liberté de mouvement à votre enfant tout en étant en mesure de le retenir ? Avec un harnais avec laisse ! Mais attention, ne choisissez pas n’importe lequel. Il faut un modèle qui ne s’attache pas aux pieds, car il faut laisser la liberté de mouvement. C’est pour cela que nous recommandons le harnais MDXONE, qui ressemble à un sac à dos très solide avec pognées et laisse rétractable. Votre tout-petit peut se laisser glisser à une certaine distance de vous, mais vous conservez un contrôle à tout instant. Malgré un prix de 95$, le MDXONE vous sauvera beaucoup de frustration et votre enfant apprendra à skier très vite. Alternativement, nous avons trouvé un autre modèle de harnais à 50$, mais nous ne l'avons pas testé. Accessoire 2 : Attache pour ski ![]() Le plus difficile quand on apprend à skier alpin, c’est le contrôle des skis. Comment faire en sorte que votre enfant conserve une position « pointe de tarte / chasse-neige » ? Avec l’attache pour ski ! Cet accessoire permettra à votre enfant de porter son attention sur les virages. Avec la pratique, la position des skis deviendra automatique pour votre tout-petit et bientôt, l’attache ne sera plus nécessaire. Nous avons testé l'attache Edgie Wedgie que nous recommandons. Un 20$ très bien investi. Alternativement, il existe l'attache Wedgease, un peu plus cher à 30$, mais qui semble avoir un mécanisme plus simple pour s'agripper au ski. Nous ne l'avons pas testé.
Avec c’est deux accessoires, vous pourrez commencer la première saison de votre enfant avec plaisir. Préparez-vous maintenant ! Pendant cette période de confinement, la dernière console de Nintendo, la Switch, a connu un succès immense. Il est fort possible que votre enfant joue avec celle-ci régulièrement. Nous avons donc dressé une liste de jeux que nous aimons particulièrement et qui peuvent faire une belle idée cadeau pour votre enfant. Certains de ces jeux sont présentement offerts avec un rabais allant jusqu’à 60%. 1) Yoshi's Crafted World (49$, un rabais de 40%) Qui ne connait pas Yoshi, ce sympatique personnage de l’environnement de Mario Bros. Dans ce jeu au look original, votre enfant explore des environnements attrayants et colorés afin de se rendre à la ligne d’arrivée. Un concept de recto/verso des niveaux rend le gameplay intéressant et très stimulant. 2) Mario Tennis Aces (49$, un rabais de 40%) Voilà le jeu de sport par excellence pour s’amuser avec ses enfants. Utilisez la manette Switch pour frapper la balle de tennis virtuellement comme s’il s’agissait d’une raquette. Votre enfant, peu importe son âge, aura du plaisir ! 3) Captain Toad: Treasure Tracker (49$) Ce jeu original de type casse-tête promet des heures de plaisir à compléter chaque niveau en difficulté croissante. Un jeu coloré et imaginatif pour tous. 4) Splatoon 2 (49$, un rabais de 40%) Un jeu de tir pour les 10 ans et plus, Splatoon 2 est d’autant plus populaire qu’il permet de jouer en ligne à plusieurs. En utilisant la couleur pour déterminer son territoire, votre enfant développera ses réflexes ! 5) Minecraft (29$) Un autre jeu très populaire, qui plaira aux enfants un peu plus grands. Ce jeu permet de développer son esprit créatif à la façon Lego en construisant des structures virtuelles dans un monde plein de surprises. 6) Mario + Rabbids Kingdom Battle (29$, rabais 60%, 10ans+) Un jeu créé par Ubisoft incluant un mélange des Lapins Crétins et de Mario Bros. Ce jeu de stratégie demandera réflexion pour affronter les situations offertes et est recommandé à des enfants de 10 ans et plus. À moins de 30$, ce jeu est présentement un excellent deal. 7) The Lego Movie 2 Videogame (29$, 10ans+)
Pour les jeunes amateurs de Lego et du dernier film du nom, ce jeu offre l’exploration de mondes Lego magiques. Recommandé pour les 10 ans et plus. Monopoly était notre jeu familial par excellence lorsque « petits ». En fait, le populaire jeu de société est relativement complexe pour des enfants en bas âges. Alors c’était un peu plus vieux qu’on jouait.
Mais savez-vous qu’il existe une version « Junior » pour les 5 ans et plus ? C’est une version considérablement réduite de la version standard. Ainsi, de 2 à 4 joueurs (enfants avec ou sans adultes) se partagent la planche de jeu de 24 cases. La monnaie (des Monopoly dollars) consiste simplement en coupures de 1$. Vous tombez sur la Pizzaria ? L’achat est de 1$. Vous achetez Promenade ? Sortez votre gros 5$ ! Aussi, le concept de maisons/hôtels a été simplifié. Ainsi, lors de l’achat d’un terrain, il faut simplement déposer un jeton représentant notre pion. Lorsqu’un joueur s’arrête sur notre terrain, le montant de la facture est le même que l’achat du terrain. Ouch ! Cela fait en sorte que les parties se terminent rapidement et durent environ une vingtaine de minutes. Seules les cartes « Chance » existent pour agrémenter la partie et aider parfois les moins chanceux. Mais attention : il est encore possible de tomber sur la case « Prison » ! Nous avons essayé Monopoly Junior avec un enfant de 4 ans et il a vite compris les règles. Donc n’hésitez pas à initier votre enfant aux concepts intéressants que ce jeu offre. Cela fait une très belle activité familiale et le jeu coûte environ 20$. Ce jeu existe en différents thèmes : régulier, Frozen, Disney Princesse, etc. Une bonne idée cadeau à petit prix. Ce jeu est l'un de nos coups de coeur ! |
Bouge PetitBouge Petit est un café et centre d'activités physiques pour parents avec bébés et jeunes enfants situé au 6546 avenue Papineau, Montréal. Archives
Août 2024
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