L’été est bien arrivé et les journées très chaudes aussi. Il est important de porter une attention particulière au coup de chaleur (heat stroke). Ce trouble peut survenir à la suite d’une exposition à des chaleurs intenses lorsque l’hydratation n’est pas suffisante. Bébé est particulièrement à risque et il faut être très prudent car un coup de chaleur peut entraîner un coma et des séquelles irréversibles. Une hydratation constante en buvant de l’eau est essentielle.
Nous partageons ici une expérience que nous avons vécue l’année passée. Ce n’était pourtant pas une journée de canicule, car c’était au mois de mai. Nous étions allés prendre une marche le matin avec notre garçon de 14 mois. Bien assis dans la poussette, il s’était endormi. Nous avions mis la poussette à l’ombre d’un arbre et il y avait une brise rafraichissante. Pourtant, notre petit ne semblait pas se réveiller et nous avons constaté que quelque chose n’allait pas. Lorsque nous l’avons pris dans nos bras, il était pâle, complètement mou et était pratiquement sans connaissance. Nous l’avons rapidement transporté à l’urgence de l’hôpital et le médecin constatât qu’il faisait 40.5C de fièvre. Après l’intervention de l’équipe médicale, notre petit revint à lui. Par précaution, il fut transporté par ambulance à l’Hôpital pour enfants. Heureusement, il n’y a eu aucune séquelle de cet incident pour notre garçon. Mais quand cela est arrivé, nous avons eu très peur pour la vie de notre petit. Rien n’indiquait que notre enfant pouvait être déshydraté ou qu’il avait trop chaud. Nous faisions attention de ne pas exposer notre enfant au soleil. En bout de ligne, il semble que notre petit garçon soit plus sensible à la chaleur. C’est pour cela que nous ne prenons maintenant aucune chance et jugeons toujours la température pour déterminer les activités avec nos enfants. Avec les journées très chaudes de l’été, nous préférons faire les activités extérieures avant 11h ou après 16h. Nous évitons le soleil du midi. Des activités intérieures climatisées sont idéales pour éviter les coups de chaleur. Si vous avez un bébé en bas âge, soyez particulièrement prudent de ne pas l’exposer à la chaleur ou aux rayons du soleil. Donnez à boire à votre bébé très souvent afin de le garder bien hydraté. Planifiez vos activités en fonction de la température et mettez la sécurité de votre enfant en priorité !
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Il était temps de remplacer notre vieille tondeuse à fil électrique qui devait bien avoir presque 20 ans ! Avec l’été bien installé, nous avons choisi l’achat d’une tondeuse avec pile. Voici nos impressions.
Notre choix a été sur le modèle Ryobi 40V avec pile lithium-ion. Nous avons hésité en magasin avec le modèle 18V. Mais sachant que notre gazon ressemble parfois à une jungle, nous avons pensé que l’extra puissance ne serait pas de trop. Nous avons donc choisi la tondeuse à gazon 40V de 16 pouces qui se détaille au prix de 240$ environ. Première constatation : Ryobi ne lésine pas avec la sécurité. Heureusement, car avec deux petits garçons actifs, pas question d’accident. Ainsi, il faut non seulement installer la pile au cœur de la tondeuse, mais également insérer une « clé rouge » de contact. Sans cette clé, impossible de démarrer la tondeuse. Gardez donc la clé hors de portée des enfants mais ne la perdez pas ! Pour démarrer la tondeuse, il y a deux étapes : appuyer et maintenir le bouton rond puis appuyer sur l’un des leviers gris de la poignée. Ensuite, relâchez le bouton en maintenant un levier enfoncé. Lors du fonctionnement, la tondeuse émet un bruit équivalent à une tondeuse à fil électrique. Le bruit est cependant moindre qu’une tondeuse à gaz. Manœuvrer cette tondeuse de 16 pouces se fait très bien. Légèrement plus lourde qu’une tondeuse à fil, mais avec l’avantage de ne pas avoir de fil électrique encombrant. La puissance est également au rendez-vous ; la tondeuse a coupé un très long gazon sans bloquer une fois. Il y a 5 niveaux d’ajustement de hauteur pour la coupe de 3/4 po à 2 3/4 po. Nous avons utilisé le niveau 2 et le gazon coupé donnait l’impression d’un beau gazon professionnellement entretenu. En bout de ligne, nous avons réduit le temps nécessaire pour couper le gazon de plus de la moitié comparativement à la tondeuse à fil. Le seule inconvénient est le temps de charge d’une batterie de cette taille : entre 2 et 3 heures. Pour les terrains assez grand, il serait peut-être nécessaire d’avoir une deuxième pile en backup. Ce qui est aussi intéressant est qu’il existe d’autres outils Ryobi qui utilisent les mêmes piles 40V : taille-bordures, débroussailleuse, souffleur et même une scie à chaîne et une souffleuse à neige. Si vous devez remplacer vos vieux équipements pour des modèles à pile, alors il pourrait être intéressant de considérer les Ryobi ! Un père de famille de 3 enfants achète en 2002 un triplex à Montréal. Comme Pascal Cormier a mentionné à l'entrevue du 98.5fm, il a hésité entre le Plateau-Mont-Royal et Rosemont, pour finalement choisir de s’établir sur le Plateau. Tout semble être le bonheur pour cette famille.
Mais coup de théâtre. En 2015, l’émission de télévision La Facture découvre que les terrains de beaucoup de familles sont contaminés. La raison : plusieurs maisons ont été construites dans les années 1920 sur une ancienne carrière qui avait été convertie en dépotoir. Bref, sous le gazon de ces familles, il y a un très haut niveau de contamination. Ce qui est aberrant : la Ville de Montréal le sait depuis 1994. Cette année-là, elle avait reçu un rapport démontrant la présence de biogaz (produit par la putréfaction des déchets) qui a un risque de provoquer des explosions. La Ville avait cependant décidé de cacher ce rapport, comme le mentionne un article de TVA. Personne ne connaissait l’existence de ce rapport, semble-t-il, en dehors de la Ville. Un voisin de M. Cormier avait procédé à un test environnemental de site Phase 1 et rien de montrait le risque de contamination. Un test de Phase 1 est la première étape d'analyse, qui coûte généralement entre 750$ et 1500$, pour découvrir si un terrain a un risque de contamination. Les firmes spécialisées qui font ce genre de tests sont très sérieuses et au moindre signe d’un possible contaminant (par exemple des signes de fuite d’huile ou réservoir d’huile enfouit dans le terrain), ils recommandent un test de Phase 2. Un Phase 2 vient effectuer des prélèvements sur le terrain pour une analyse en laboratoire. Les coûts montent alors rapidement, facilement de 5 à 10 fois plus que le Phase 1. Pour le Phase 1, les techniciens font des recherches à partir de plusieurs sources, incluant les archives de la ville. C’est ici que c’est inquiétant : le rapport ne semble n’avoir jamais fait surface. On imagine alors que le Phase 1 commandé par le voisin a été concluant et ne recommandait donc pas de Phase 2. Voilà qui démontre que des personnes dans l’administration publique ne prennent pas leurs responsabilités. Ils ont caché le rapport démontrant la contamination des terrains, sans aviser aucun des citoyens impliqués. Ils ont même fermé un jardin botanique d’un parc adjacent à cause du haut risque de contamination des légumes, mais n’ont pas avisé les citoyens de faire de même avec leurs jardins privés. La famille et ses 3 enfants ont donc, pendant plus d’une dizaine d’années, utilisé leur terrain sans jamais savoir un seul moment être exposés à ce risque. Le plus inquiétant : la Ville s’acharne contre ces familles, impliquant leurs avocats, payés à même les taxes des citoyens, pour repousser les demandes de ces familles. Les maisons de ces citoyens ne valent plus rien, car les terrains doivent être décontaminés à des frais exorbitants (1.8 million pour un seul terrain). L’administration Plante, qui s’était pourtant annoncé comme étant en faveur d’aider ces familles avant son élection, semble maintenant faire de même que l’administration précédente et tente de repousser le problème de ces familles déjà au bout du rouleau et épuisées financièrement. Entre temps, le Ministre de l’environnement du Québec, a donné à la Ville de Montréal 75 millions pour faire… de la décontamination de sol. La Ville dit vouloir prioriser la décontamination de terrains vagues pour permettre des nouveaux développements immobiliers. Alors, rien pour ces familles aux prises avec ce problème. Ce qu’il faut en penser : la Ville recherche toujours plus de façon de faire de l’argent et néglige souvent ses responsabilités sociales envers ses citoyens résidentiels et commerciaux. Voici une recette de hot-dogs différente qui fera le bonheur de vos petits ! De plus, ils sont délicieux et riches en protéines. Ce « cachorro quente » (hot-dog) est très populaire au Brésil, à savourer avec la famille et les amis !
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Bouge PetitBouge Petit est un café et centre d'activités physiques pour parents avec bébés et jeunes enfants situé au 6546 avenue Papineau, Montréal. Archives
Janvier 2023
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