Le radon est un gaz inodore, incolore et radioactif. Il est cancérigène et entraîne la mort de 3000 personnes chaque année au Canada. Selon les études, le radon est la première cause de cancer du poumon chez les non-fumeurs. À noter que toutes les maisons peuvent contenir du radon, particulièrement les maisons plus récentes. Avec la COVID-19, nous passons beaucoup de temps dans nos maisons. Le gouvernement recommande donc de tester nos maisons pour détecter le niveau de radon émis. Vous avez peut-être reçu un avis par la poste à cet effet ou encore visité le site Takeactionradon.ca. Heureusement, tester le radon à la maison est simple. Voici les étapes requises : Étape 1 Acheter une trousse de dépistage. Santé Canada recommande un test long terme du radon dans l’air. Le test Alpha Track AT100 d’AccuStar Canada est l’un de ceux approuvés. Il en coûte 39.95$ (vous pouvez acheter 2 tests pour 59.95$). Votre test arrivera avec un mode d’emploi et une enveloppe prête pour le retour. Étape 2 Vous recevrez le test dosimètre de type trace alpha dans un sac scellé. Vous devez identifier une pièce où y laisser le test. Par exemple, la salle familiale, salon ou chambres à coucher sont des bons choix, car nous y passons plus de temps. Ne testez pas la cuisine, salles de bain ou garde-robes. Étape 3 Ouvrir le sac scellé et installez le test dans la salle de votre choix, en suivant les indications des instructions. Nous avons choisi de mettre le test sur une commode de chambre d’enfant. Laissez le dosimètre pendant une période de 91 à 365 jours. Étape 4
Dans quelques mois, vous devrez envoyer le test par la poste en utilisant l’enveloppe de retour afin d’obtenir les résultats par le laboratoire. Selon Santé Canada, en obtenant un niveau de radon de 200 Bq/m3 (Becquerel de radon par mètre cube d’air) ou plus, vous devriez installer un système d’atténuation du niveau de radon. En espérant que ce ne sera pas le cas et que votre test restera en deçà de cette valeur. Ceci dit, c’est un test que nous devrions tous faire au moins une fois dans notre maison pour s’assurer de la santé de notre famille. Nous dormirons mieux ensuite !
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Il est normal pour un enfant en bas âge de faire pipi au lit. Cependant, dès l’âge de 5 ans, si ce problème subsiste, il faut commencer à y porter une attention. Il faut quand même mettre en contexte que 9% des enfants entre 5 et 10 ans font de l’énurésie nocturne. Conseil 1 : ne pas perdre patience ! Comme parents, nous devons ne pas perdre patience face à ce problème et ne pas faire de reproche à notre enfant. Nous devons plutôt l’aider à passer à travers cette période où l’estime de soi peut être affectée. Conseil 2 : anxiété ou peur Est-ce que la chambre ou le couloir vers la toilette sont trop noir pour que votre enfant se lève en pleine nuit pour aller à la toilette ? Votre enfant fait-il de l’anxiété ou des cauchemars ? Il faut être attentif à ses besoins et état d’âme qui peuvent avoir un lien avec le problème. Conseil 3 : réduire les liquides le soir Évidemment, boire plus de liquide pendant le jour et moins le soir est de mise. Conseil 4 : responsabiliser votre enfant Un pipi dans la nuit ? Pas de problème. Demandez à votre enfant de vous aider à participer au lavage du pyjama et des draps le lendemain. Conseil 5 : le réveiller la nuit Réveillez votre enfant à une heure précise où vous savez qu’il doit normalement uriner. Mais si votre enfant dort profondément, n’insistez pas. Conseil 6 : utiliser un « stop pipi » (alarme humide) Parfois votre enfant ne ressent pas quand apparaît le besoin d’uriner. Il existe des petits appareils permettant de détecter les premières gouttes et émettent des sons pour réveiller l’enfant. Cela a démontré des effets positifs pour permettre une meilleure compréhension des besoins du corps. Il faut tout de même être patient, mais après quelques semaines d’utilisation, il est déjà possible de voir des résultats améliorés. Par exemple, nous avons testé l'alarme Wet-Stop3. Ce petit appareil fonctionne avec 2 piles AAA. Il est possible de mettre en mode vibration, son ou vibration-son combinés. Le son est fort et l’enfant se réveille à chaque fois. Un câble avec un détecteur de liquide vient s’agripper à la culotte de votre enfant. Il faut bien le placer sur l’avant de la culotte afin de détecter l’urine dès le début. Un bouton sur le côté permet d'arrêter l'alarme. Le Wet-Stop3 vient en trois couleurs : bleu, vert ou rose. Il se détaille au prix de 66.99$. Il a été conçu par un urologue pédiatrique et convient autant pour les garçons que pour les filles. Conseil 7 : motivation
Il est bon de trouver un système pour motiver notre enfant lors des succès, par exemple un calendrier avec collants et peut-être une petite récompense après quelques jours sans pipi. Par exemple, pourquoi ne pas offrir des nouvelles culottes à votre enfant en fonction de son goût du moment ? Le printemps est peut-être arrivé, mais il reste encore de la belle neige pour profiter pleinement du ski au soleil ! Certaines stations sont ouvertes jusqu’à la fin avril. Et il reste encore des ventes de fin de saison dans les magasins, alors c’est une bonne idée de planifier l’achat d’équipement pour une première expérience de ski à votre enfant. À partir de quel âge commencer le ski ou snowboard avec mon enfant ? Nous avons enseigné à skier à nos petits garçons, l’un 3 ans, l’autre 4 ans et demi. Dans les deux cas, ils sont en mesure de bien tenir debout sur leurs skis et de comprendre le fonctionnement de base. La principale différence, c’est leur résistance face à l’exercice. À 3 ans, après deux ou trois descentes d’une petite pente tapis-magique, c’est déjà assez. Par contre, à 4 ans, avec plusieurs pauses-collations, il est possible de faire une journée presque entière. Donc si vous avez à déterminer un âge idéal, vers la fin de 3 ans serait probablement mieux afin de commencer assez jeune, mais en même temps pas trop âgé pour profiter du fait qu’ils sont encore physiquement petit. Devrais-je enseigner moi-même à mon enfant ? Si vous avez assez d’expérience de ski, l’idéal est de commencer par enseigner vous-même le ski à votre enfant. Les cours offerts dans les stations de ski pour les enfants de moins de 5 ans sont souvent plus dispendieux car il nécessite parfois un moniteur par enfant. Ainsi, en enseignant à votre enfant, vous aurez beaucoup plus de temps à offrir et cela sans vous coûter d’argent (autre que les billets d’accès à la montagne). Sachez cependant que vous aurez besoin de beaucoup de patience ! Quel équipement utiliser ? Voici l’équipement que nous avons jugé essentiel pour bien enseigner le ski et avoir du plaisir en même temps. Skis (snowboard), bottes, casque et lunettes Évidemment, vous devrez avoir l’équipement nécessaire de base : les skis (snowboard), bottes, casque et lunettes (à cet âge, pas de bâton). La question est : louer ou acheter l’équipement ? Une paire de skis à cet âge peut servir environ 2-3 années. Pour les bottes cela dépend de la croissance de votre enfant, mais en général une seule année. La location peut être une bonne idée si vous n’avez qu’un enfant, mais vous devrez réserver avant la saison votre équipement dans les magasins de location. Si vous avez deux enfants ou plus, l’achat (usagé ou neuf à rabais en fin de saison) peut être avantageux, car vous pourrez réutiliser l’équipement pour chaque enfant. Dès la fin février et pendant le printemps, plusieurs magasins d’équipements de sports offrent des rabais allant de 30% à 50% sur l’équipement de ski. C’est le moment idéal pour acheter. Si vous prévoyez commencer la saison prochaine, maintenant est encore le temps pour aller acheter l’équipement. Prévoyez une taille plus grande, car les enfants grandissent vite. Harnais avec laisse Nous avons essayé d’enseigner le ski à nos enfants en skiant à reculons et en retenant nos petits avec un bâton de ski. Mais on a vite réalisé comment limité et fatiguant cela est. Nous avons donc recherché un harnais avec laisse de qualité pour pouvoir retenir notre enfant en le laissant skier devant nous. Il existe plusieurs modèles de prix variables. Nous avons découvert et testé le harnais MDXONE, un produit canadien, au prix de 95$. Il est utilisable soit pour enseigner le ski ou le snowboard. Il ressemble à un petit sac à dos et détient une laisse rétractable, ce qui est l’idéal pour donner un peu de distance entre vous et votre enfant. Selon nos tests, notre enfant de 4 ans et demi sera probablement trop grand l’année prochaine pour l’utiliser. Par contre, nos garçons ont fait de réel progrès beaucoup plus rapidement une fois qu’ils ont commencé à utiliser le MDXONE. De plus, ils étaient excités à l’idée de devancer papa et tracer leur propre chemin. Un autre aspect important du MDXONE : les poignées sur le sac qui permettent de relevé facilement l’enfant lorsqu’il tombe et elles permettent de sécuriser l'enfant en prenant les remontées mécaniques pour la première fois. Notre plus jeune n’était pas encore prêt pour les chaises, mais notre plus âgé a adoré l’expérience pendant que papa n’a eu aucun problème à l’asseoir sans même faire ralentir la chaise non-débrayable. Définitivement un achat important pour avoir du plaisir à enseigner à vos enfants. Présentement vous pouvez même l’acheter sur Amazon avec un rabais substantiel dans la couleur rouge (environ 74.95$+tx). Attache pour ski
Voici un autre équipement essentiel : le Edgie Wedgie. C’est un petit câble qui vient s’attacher au bout de chaque ski afin de garder ceux-ci rapprochés. Cela permet à l’enfant de faire le V du "chasse-neige" sans risque de croiser les skis. Nous avions essayé d’abord sans cet équipement et nos garçons avaient de la difficulté à contrôler leurs skis. Mais avec l’utilisation du Edgie Wedgie, soudainement ils étaient capable de ralentir, tourner et arrêter sans notre intervention. Après quelques jours de pratique, notre plus âgé a même cessé de l’utiliser et avait acquis les connaissances de base pour contrôler ses skis. Au prix d’environ 20$, cet outil essentiel vous sauvera bien des maux de tête ! Vêtements chauds Finalement, n’oubliez pas un habit de neige et des mitaines chaudes, ainsi qu’un cache-cou qui couvre bien le visage sous les lunettes de ski. Il est important d’apporter des vêtements de rechange pour les journées froides. Vous voilà donc bien outillé pour commencer à enseigner le ski ou le snowboard à votre petite ou votre petit. Prendre l’air est important et faire du sport est stimulant pour vos petits. Et pour les journées froides, pluvieuses ou simplement pour le plaisir, vos tout-petits peuvent venir s’amuser chez Bouge Petit ! Si vous avez d’autres astuces pour enseigner le ski, n’hésitez pas à commenter. Bon ski ! [ Petite mise à jour, car ce texte génère beaucoup de commentaires. Nous sommes conscients que les membres du personnel font ce qu’ils peuvent avec les moyens qu’ils ont à leur disposition. Cela dit, comme société nous devons cesser d’accepter ces demi-mesures « quand tu es vraiment malade, alors le système fonctionne très bien ». Non il n’est pas normal d’avoir des conditions aussi piètres dans nos hôpitaux. Certaines personnes ont eu des bonnes expériences. Mais pour toutes les autres qui ont vécu des difficultés qui auraient pu être évitées, alors il est normal de pouvoir le dénoncer afin que les choses changent. Ce texte n’indique pas toutes nos difficultés vécues, mais j’en ajoute une autre en boni : l’hôpital a fait une erreur sur la date d’accouchement du Constat de naissance de notre bébé. Ce texte reflète notre opinion sur notre expérience personnelle. ]
Mon épouse vient de donner naissance à notre 3e enfant. Tous ses accouchements ont eu lieu à l’Hôpital Sacré-Cœur de Montréal, alors je peux dire qu’on commence à s’y connaître avec l’endroit. Mais je ne pensais pas que l’hôpital pouvait faire pire visite après visite. Avez-vous visité Sacré-Cœur, au service d’accouchement ? Mon épouse était sortie en pleurant après avoir vu l’état des installations lors de la « visite d’accueil ». On se croit vraiment au début de 1900 et que la technologie n’a pas évoluée depuis. Par où commencer ? Car tout semble croche dans cet hôpital. Je commence par ce qui m’a frustré le plus : OÙ EST L’ANESTHÉSISTE ??? Parce qu’il ne s’est jamais présenté pour administrer l'épidurale. Il semble que les accouchements, c’est le dernier de ses soucis. Il (ou elle) est peut-être trop important(e) pour daigner se déplacer d’un étage, avec un salaire qui doit certainement dépasser les 500,000$ par an (lire et lire sur les spécialistes). Lors du premier accouchement, mon épouse a eu une épidurale. Mais pour l’anesthésiste, c’était une injection de plus dans ses statistiques. Cela semblait déranger le médecin de faire son travail. Et il a fallu que mon épouse attende, assise inconfortablement sur le bord du lit pendant une bonne demi-heure en état de douleur avancée, car il fallait que mon épouse soit « en position et prête » pour l’arrivée de l'anesthésiste. Mon épouse voulait se coucher sur le côté à cause des douleurs, mais les infirmières ont mentionnées que le médecin serait fâché et retournerait sans administrer l’analgésie péridurale lombaire à mon épouse. Incroyable, on se croirait dans un fast-food. Lors du deuxième accouchement, le travail de mon épouse a été rapide alors elle n’a pas eu le temps d’obtenir l’épidurale. C’est pourquoi cette fois-ci, nous voulions l’épidurale dès que les contractions étaient avancées. Mais le « protocole » de l’hôpital a fait en sorte que ce n’est jamais arrivé. À commencer par l’analyse sanguine nécessaire à donner le feu vert qui n’a pas été faite dans les temps. C’est seulement après les cris de mon épouse que l’infirmière en charge a appelé le laboratoire et qu’ils ont dit « on vous le fait là », soit 45 minutes trop tard. Qui est en charge de ce labo ? S’il y a une analyse sanguine pour une épidurale, il ne faut pas attendre dernière minute, c’est le gros bon sang. Mais au-delà des raisons que le département nous donne, je me demande si l’hôpital ne le fait tout simplement pas intentionnellement de faire en sorte d’éviter les épidurales. Car chaque épidurale représente des frais additionnels pour l'hôpital et un ajout de tâches additionnelles pour les infirmières. Après tout, même une infirmière nous a mentionné que ça « donne plus de travail ». Pourquoi alors offrir l’épidurale à la patiente et lui faire signer une décharge si en bout de ligne on ne lui administre pas ? Après l’accouchement, mon épouse et bébé sont transférés dans une petite chambre privée (au modique coût de 202$ / jour). Que la chambre soit vieillotte, sans toilette, avec un petit lavabo avec eau-chaude eau-froide en deux robinets séparés, avec de l’équipement qui n’a pas été renouvelé depuis la construction de l’hôpital, je peux le supporter après l’accouchement vécu. Mais qu’il n’y ait pas d’air climatisé, c’est vraiment consternant. La chaleur de la chambre était insupportable et à un point on a cru que bébé était en déshydratation. Et ce n’était pas la canicule de la semaine passée, alors je n’ose imaginer la situation précaire des parents et leurs bébés qui étaient là à ce moment. J’ai vérifié et il semble que toutes les chambres du département sont ainsi. La solution de l’hôpital ? Installer des petits ventilateurs sur la table près du lit. La plupart des infirmières qui nous ont assistées sont gentilles, quoique très occupées. Alors quand on appuie le bouton pour avoir de l’aide, c’est souvent un préposé au service des chambres qui vient nous demander ce qu’on veut. « On veut juste parler à notre infirmière ! » Avec toute la techno d’aujourd’hui, je ne peux pas croire que le petit bouton allume une lumière au-dessus de notre porte de chambre, pendant que les infirmières discutent entre elles dans leur bureau au fond du couloir. Certaines infirmières arrivent souvent de 30 à 60 minutes plus tard. L’administration de l’hôpital semble couper dans les installations et les infirmières, possiblement aussi dans les médecins. Car le seul médecin disponible (en cas de problème) lors de l’accouchement était un gynécologue étudiant. Le médecin de mon épouse avait été appelé sur le tard par les infirmières alors elle tardait à arriver. Clairement, l’équipe au département des naissances n’étaient pas prêtes à toute éventualité. Quand notre médecin est arrivé, mon épouse a pleuré de joie. Notre petite est née quelques minutes plus tard, avec l’aide réconfortante de notre médecin. Il est difficile de décrire avec exactitude la frustration et la déception des services offerts à l’Hôpital Sacré-Coeur. La naissance d’un bébé est un moment si beau, mais l’environnement fait en sorte que les souvenirs sont entachés de mauvaises expériences. Est-ce vraiment juste à l’Hôpital Sacré-Cœur ? Car on a eu des expériences très positives au Children’s Hospital et au Shriners Hospital. Je sais que l’Hôpital Sacré-Coeur a un projet pour un tout nouveau département des naissances dû en 2020 qui aura l’air climatisé, mais en attendant, voici la dure réalité pour les familles. N’hésitez pas à commenter vos propres expériences d’accouchement à Sacré-Cœur ou un autre hôpital, car on aimerait savoir si c’est une problématique généralisé au Québec. L’été est bien arrivé et les journées très chaudes aussi. Il est important de porter une attention particulière au coup de chaleur (heat stroke). Ce trouble peut survenir à la suite d’une exposition à des chaleurs intenses lorsque l’hydratation n’est pas suffisante. Bébé est particulièrement à risque et il faut être très prudent car un coup de chaleur peut entraîner un coma et des séquelles irréversibles. Une hydratation constante en buvant de l’eau est essentielle.
Nous partageons ici une expérience que nous avons vécue l’année passée. Ce n’était pourtant pas une journée de canicule, car c’était au mois de mai. Nous étions allés prendre une marche le matin avec notre garçon de 14 mois. Bien assis dans la poussette, il s’était endormi. Nous avions mis la poussette à l’ombre d’un arbre et il y avait une brise rafraichissante. Pourtant, notre petit ne semblait pas se réveiller et nous avons constaté que quelque chose n’allait pas. Lorsque nous l’avons pris dans nos bras, il était pâle, complètement mou et était pratiquement sans connaissance. Nous l’avons rapidement transporté à l’urgence de l’hôpital et le médecin constatât qu’il faisait 40.5C de fièvre. Après l’intervention de l’équipe médicale, notre petit revint à lui. Par précaution, il fut transporté par ambulance à l’Hôpital pour enfants. Heureusement, il n’y a eu aucune séquelle de cet incident pour notre garçon. Mais quand cela est arrivé, nous avons eu très peur pour la vie de notre petit. Rien n’indiquait que notre enfant pouvait être déshydraté ou qu’il avait trop chaud. Nous faisions attention de ne pas exposer notre enfant au soleil. En bout de ligne, il semble que notre petit garçon soit plus sensible à la chaleur. C’est pour cela que nous ne prenons maintenant aucune chance et jugeons toujours la température pour déterminer les activités avec nos enfants. Avec les journées très chaudes de l’été, nous préférons faire les activités extérieures avant 11h ou après 16h. Nous évitons le soleil du midi. Des activités intérieures climatisées sont idéales pour éviter les coups de chaleur. Si vous avez un bébé en bas âge, soyez particulièrement prudent de ne pas l’exposer à la chaleur ou aux rayons du soleil. Donnez à boire à votre bébé très souvent afin de le garder bien hydraté. Planifiez vos activités en fonction de la température et mettez la sécurité de votre enfant en priorité ! |
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